Le ministre de l’Enseignement supérieur et le ministre délégué auprès du ministre de l’Industrie, chargé de la Production pharmaceutique, en visite de travail à la ville universitaire de Constantine

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Le ministre de l’Enseignement supérieur et le ministre délégué auprès du ministre de l’Industrie, chargé de la Production pharmaceutique, en visite de travail à la ville universitaire de Constantine

Samedi 14 décembre 2024, M. Kamel Baddari, ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, et M. Fouad Hadji, ministre délégué auprès du ministre de l’Industrie, chargé de la Production pharmaceutique, ont effectué une visite de travail et d’inspection à la ville universitaire de Constantine. 

Ils ont entamé leur visite par le Centre national de recherche en biotechnologie (CRBT), au niveau de l’université de Constantine 2 « Abdelhamid Mehri », où :

– le directeur du centre a présenté un exposé sur la stratégie de la recherche et de développement adoptée par le centre pour renforcer la santé et de la sécurité alimentaire, ainsi que le programme de renforcement et la promotion des startups. 

– Des décisions de localisation de startups innovantes dans plusieurs domaines ont été accordés, à l’instar de « Dorouscom », «DD » pour transformer et réduire les processus de digitalisation des entreprises; « Irigreen », qui a développé un tuyau d’irrigation intelligent, exportable à l’étranger; « Global Center for Robotics Education », accréditée par la Fédération internationale de la robotique et l’entreprise coréenne; « ABC DZ », plateforme d’e-learning; « wheel wise AI drive », une startup qui contrôle les innovations en matière de commande et de contrôle avec reconnaissance gestuelle pour fauteuils roulants électriques ; «B market », une startup qui fournit des pièces de rechange ; « Innovative kids technology », pour différents âges ; « safe digital health » ; pour développer des logiciels et des applications mobiles pour les personnes à besoins spécifiques et les enfants autistes; « NAHLA Tech »; « Energitica »; « MajlisCom », une plateforme de gestion d’événements mondiaux; « Fanatec Mobility », la première application algérienne de mobilité intelligente, gratuite et écologique utilisant des trottinettes électriques ;

– Une startup spécialisée dans l’analyse cellulaire, a été créée ;

– Une plateforme technologique protéomique « Platforme proteomique » a été lancée. 

A l’occasion de cette visite, un accord de coopération a été signé entre l’Agence nationale des produits pharmaceutiques et le groupe Saidal, représenté par le centre « Equival », et le centre de recherche en sciences pharmaceutiques. Des accords de coopération ont également été établis entre l’ANPP et les départements  de pharmacie des facultés de médecine des wilayas de Constantine, Annaba, Batna, Sétif et Ouargla, ainsi qu’avec le Centre de recherche en biotechnologie.

Visite de travail de M. le ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique à l’Université de M’Sila

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Visite de travail de M. le ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique à l’Université de M’Sila

Kamel Baddari, ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique, a effectué, jeudi 12 décembre 2024, une visite de travail et d’inspection à l’Université « Mohammed Boudiaf» de M’Sila. Le Ministre, accompagné de M. le Wali, des autorités locales et du directeur de l’université, a entamé sa visite par l’inspection du nouveau pôle technologique universitaire, où il a inauguré le Complexe dédié à la domiciliation des start-up des étudiants de l’université, porteur de projets innovants. M. Le ministre a, également, visité l’exposition, organisée à l’occasion, dédiée aux start-up créées à l’université de M’Sila.

Le ministre s’est, également, enquis des préoccupations des étudiants créateurs de start-up, et les a encouragé à poursuivre leur parcours innovateur et leur a assuré son soutien et celui du secteur.

Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique répond aux questions des membres du conseil de la nation

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Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique répond aux questions des membres du conseil de la nation

Lors d’une plénière du conseil de la nation, consacrée aux questions orales, le jeudi 5 décembre 2024, le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, M. Kamel Baddari, a expliqué lors de sa réponse que « l’ouverture de la formation en médecine au sein de certaines institutions universitaires s’était effectuée à la demande des parents des étudiants et des représentants parlementaires des deux chambres ». à cet effet et suite aux rapports présentés par la commission ministérielle conjointe de haut niveau comprenant des cadres de divers secteurs et des autorités compétentes « 21 annexes des facultés de médecine ont été créées pour assurer la formation durant les trois premières années du parcours préclinique. Elles représentent des structures pédagogiques rattachées pédagogiquement et administrativement aux facultés de médecine existantes. » 

 

Dans le même contexte, le ministre a souligné que « ces annexes seront évaluées selon une approche participative élargie à tous les acteurs secteur, en tenant compte de la disponibilité des conditions relatives au succès de cette formation ».

 

Concernant la question de l’unification de la dénomination de certaines spécialités et de la révision des diplômes précédemment  délivrés, ainsi que la coordination avec les services de la fonction publique, le ministre a expliqué que « le système de la formation LMD, appliqué depuis 2004, avait habilité un grand nombre d’offres de formation en licence et en master. Ces offres, bien que différentes dans leurs intitulés, sont similaires en termes de contenus et de programmes d’enseignement. »

 

Il a ajouté que son secteur ministériel a travaillé sur « la mise en conformité des offres de formation en licence et à l’harmonisation des masters, » en « revoyant les intitulés des branches et des spécialités et en unifiant les dénominations et le contenu des offres de formation dans toutes les spécialités afin de rendre les profils des diplômés  plus lisibles. »

 

Le ministre a révélé que ces deux opérations ont permis de réduire «les branches de formation en licence de 227 à 83, soit 60%, et les spécialités de 1 962 à 177, soit 90%, après mise en adéquation », ainsi que « le nombre de spécialités en master de 3 174 à 536 soit 83% ». Il a également annoncé que «la direction générale de la fonction publique et de la réforme administrative a été informée de la nomenclature actualisée, et sur laquelle les diplômés des institutions universitaires ont été recrutés dans les différents secteurs. »

Prix de la meilleure thèse de doctorat africaine en droit constitutionnel

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Prix de la meilleure thèse de doctorat africaine en droit constitutionnel

Le 2 décembre 2024, M. Kamel Baddari, ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique, a assisté, à la Cour constitutionnelle, à la cérémonie de remise du prix de la meilleure thèse de doctorat africaine en droit constitutionnel, organisée par le secrétariat général de la Conférence des juridictions constitutionnelles africaines, au professeur Kylali Zahra enseignante à l’université Mohamed Ben Ahmed – Oran 2. 

Ce prix est un indicateur de la qualité du système d’enseignement supérieur et de la recherche scientifique en Algérie, d’une part, et sa contribution scientifique à l’échelle continentale, d’autre part.

Cet événement important, un accord de coopération a été signé entre la Cour constitutionnelle, représentée par M. Omar Belhadj, et le ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique, représenté par M. Kamel Baddari.

Le ministre présente le plan d’action quinquennal (2024 – 2029) pour le secteur de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique, depuis l’université Mohamed-Cherif Messaâdia de Souk Ahras

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Le ministre présente le plan d’action quinquennal (2024 - 2029) pour le secteur de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique, depuis l’université Mohamed-Cherif Messaâdia de Souk Ahras

Le 28 novembre 2024, le ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique, M. Kamel Baddari est arrivé à Souk Ahras pour initier une visite de travail et d’inspection à l’université Mohamed-Cherif Messaâdia de Souk Ahras. Il a entamé sa visite par l’inspection de deux premières startups de l’université, et ce, dans le cadre de la réalisation des objectifs du président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, qui prévoit la création de 20 000 startups et institutions économiques au cours des cinq prochaines années. Il a ensuite visité l’exposition des projets innovants des étudiants universitaires, dont dix-huit (18) projets convertis en micro-entreprises par NESDA. Il a également assisté à une partie de la session de formation des étudiants porteurs de projets innovants au sein de l’incubateur d’entreprises de l’université.

En écoutant un exposé sur les différents projets des start-up présentés par les étudiants détenteurs de Labels de brevet d’invention, le ministre a encouragé les étudiants à entrer dans le monde de l’entrepreneuriat pour contribuer au développement de l’économie nationale et locale.

Lors de l’inauguration d’une salle modèle dédiée à l’enseignement à distance dans cette même université, le ministre a souligné la nécessité de fournir les moyens et les technologies nécessaires pour soutenir l’enseignement « hybride » qui combine entre l’enseignement présentiel et l’enseignement à distance, en proposant des conférences et des cours magistraux de différentes universités du monde afin de transmettre des connaissances, des expertises, des expériences et des idées.

 

Lors d’un discours prononcé devant la famille universitaire, le ministre a présenté les grands axes du projet de plan d’action du secteur de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique pour la période 2024-2029. Le plan se compose de trois (3) axes stratégiques, dix-neuf (19) leviers et quatre-vingt-treize (93) activités.

Lancement du premier système algérien d’exploitation informatique

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Lancement du premier système algérien d’exploitation informatique

Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique, M. Kamel Baddari, a supervisé, mardi 19 novembre 2024, à l’université du Docteur Moulay Tahar de Saïda, le lancement du premier système algérien d’exploitation informatique « distribution Linux », utilisant des systèmes libres et ouverts.

Le ministre a souligné, lors de son discours à cette occasion, que ce système logiciel, algérien à 100%, est le résultat des efforts des étudiants et des chercheurs universitaires spécialisés en logiciels, issus de diverses institutions universitaires algériennes.

« La création du système « distribution Linux » algérien, qui combine la facilité de l’utilisation et la sécurité ; contribuera à l’amélioration de la performance des systèmes d’exploitation de nos ordinateurs, notamment en renforçant et sécurisant notre système d’information », a ajouté le ministre, expliquant que « cela permettra d’instaurer une économie technologique ouverte pour l’Algérie ». 

Le ministre a rappelé que « ce système d’exploitation pour ordinateurs constitue un noyau qui permettra aussi la création de dizaine de startups dans le domaine des logiciels». 

Il a également salué à cette occasion les efforts de l’Université du Docteur Moulay Tahar de Saïda, qu’il a qualifiée de « modèle » à suivre en matière de progrès, de science et d’innovation.

Le ministre a pareillement honoré les trois premières équipes des étudiants gagnant du premier concours national de création de système algérien d’exploitation informatique « distribution Linux », organisé par l’université de Saïda en coordination avec la Commission nationale des logiciels libres et open source (CNLL), relevant du Ministère de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique.

Ce concours, qui s’est déroulé sur trois jours à l’Université de Saïda, a vu la participation de dix équipes, chacune composée de quatre étudiants provenant de différentes universités du pays.

Poursuite des efforts pour améliorer le système de formation universitaire afin d’atteindre la qualité

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Poursuite des efforts pour améliorer le système de formation universitaire afin d’atteindre la qualité

Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique, M. Kamel Baddari, a affirmé, jeudi 07 novembre 2024 à l’assemblée populaire nationale (APN), lors d’une séance plénière consacrée aux questions orales,  que son secteur poursuit ses efforts pour l’amélioration du système de formation LMD (licence – master – doctorat), en vue de développer la formation et de valoriser les résultats de la recherche scientifique.

Le ministre a expliqué que le secteur de l’enseignement supérieur « poursuit le parcours de réformes du système LMD, selon une vision commune regroupant les différents acteurs », notant que « des ateliers seront prochainement organisés pour étudier les moyens de développer de ce système ».

Il a précisé que le secteur s’engage à « donner une dimension économique à la recherche scientifique en valorisant les produits de recherche et instaurer la culture de l’innovation, de l’entrepreneuriat et des affaires auprès des étudiants, ainsi qu’à la réalisation d’une transition numérique et à améliorer la visibilité du système éducatif et de la recherche à l’international», ainsi qu’à «préparer le lancement de l’université de la quatrième génération ». 

En réponse à une question sur l’attraction des compétences nationales à l’étranger, le ministre a expliqué qu’ «un ensemble de mesures ont été mises en place pour ce fait, en l’occurrence la création de réseaux thématiques, ainsi que l’intégration de ces élites dans les projets de recherche », en plus de « les encourager à participer à l’encadrement des doctorants et les employer dans les centres de recherche ».

D’autre part, le ministre a souligné « la détermination du secteur d’adopter la méthode du dialogue et de la concertation pour répondre aux différentes préoccupations soulevées », citant « une série de rencontres organisées avec les représentants des étudiants de différentes facultés de sciences médicales, qui ont permis de répondre à leurs revendications ».     

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