Résultats d’orientation des nouveaux bacheliers

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Résultats d’orientation des nouveaux bacheliers

Le ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique, M. Kamel Baddari, a affirmé, lundi 5 août 2024, au siège du ministère, que 70.22 % des nouveaux bacheliers 2024 inscrits à l’université, ont obtenu l’un de leurs trois premiers choix.
Lors d’une conférence de presse tenue pour annoncer les résultats d’orientation des nouveaux bacheliers 2024, le ministre a informé que seuls 2.16% des nouveaux bacheliers n’avaient pas obtenu leurs choix, auxquels une seconde chance leur sera accordée à partir de ce jour afin de choisir une spécialité en fonction des notes obtenues au baccalauréat.
Le nombre total des nouveaux bacheliers initialement inscrits s’élève à 381 428, soit 97,84% des bacheliers de 2024, dont 65,3% ont opté pour les spécialités scientifiques et technologiques et 34,7% ont choisi les sciences humaines et sociales.
Concernant l’orientation des étudiants des sciences médicales, le ministre a souligné qu’elle a augmenté, atteignant 20 015 contre 14 513 étudiants l’année dernière.
S’agissant des écoles supérieures, le nombre des bacheliers qui s’y ont orienté a atteint 16 155, soit une hausse de 4,23% par rapport à l’année dernière, tandis que le nombre des étudiants orientés vers les écoles supérieures des enseignants a atteint 10 303, soit une hausse de 2,70%.
Le ministre a ajouté que le nombre des bacheliers orientés vers les parcours de formation pour obtenir un double diplôme a atteint 2143 étudiants, en plus des 564 étudiants inscrits à des offres de formation pour obtenir un diplôme à double compétence.
Quant aux étudiants orientés vers les écoles supérieures du pôle technologique de Sidi Abdellah, 308 étudiants ont été orientés vers l’École Supérieure des Mathématiques, 303 vers l’École Supérieure de l’Intelligence Artificielle, 222 étudiants vers l’École Nationale Supérieure des Systèmes Autonomes, 219 vers l’École Nationale Supérieure de la Nano et Nanotechnologie, et 223 étudiants vers l’École Nationale Supérieure de la Cybersécurité.

Visite de travail et d’inspection à Boumerdès

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Visite de travail et d’inspection à Boumerdès

Le jeudi 01 août 2024 à Boumerdès, le ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique, M. Kamel Baddari, a annoncé que l’Université « M’hamed Bougara » recevra 4000 places pédagogiques octobre prochain.
Lors de la visite de travail et d’inspection des projets des deux secteurs dans la wilaya, le ministre, accompagné du ministre de l’Hydraulique, M. Taha Derbal, a affirmé la bonne vitesse d’exécution de ce projet, qui a atteint un stade très avancé, et qui sera réceptionné octobre prochain.
Il a souligné que ce projet universitaire, situé à proximité du pôle urbain « Sahel » à Boumerdès, « diminuera la pression des places pédagogiques enregistrée à l’université de Boumerdès, désormais une destination de nombreux étudiants des différentes wilayas du pays ».
Le ministre a indiqué que plus de mille places pédagogiques du projet global seront consacrées au soutien des capacités d’accueil de la filière de Génie et Électrique Électronique de la Faculté des Sciences de l’Ingénieur, tandis que les places restantes seront destinées à soutenir les capacités de plusieurs filières et spécialités telles que celle de Physique et d’Informatique de la Faculté des Sciences.
Il a également mentionné qu’au cours des trois prochaines années, un autre projet sera réalisé sur le même site au profit de cette université, comprenant 2000 places pédagogiques destinées à la création d’une faculté de médecine, et un autre projet comprenant 5000 places pédagogiques sera réalisé au cours des cinq prochaines années.
Le ministre a déclaré à cet égard que, grâce aux projets programmés sur une superficie estimée à 22 hectares, « l’infrastructure de l’université sera renforcée et développée, ce qui offrira plus de confort aux étudiants », soulignant que ce « développement est le fruit des efforts de l’État visant à pourvoir un enseignement supérieur commode et à concrétiser les principes de démocratisation de l’enseignement, faisant de l’université une locomotive de développement national, de créativité et d’innovation ».

L’université au cœur des préoccupations de l’Algérie nouvelle

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L’université au cœur des préoccupations de l'Algérie nouvelle

Le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, place l’université au cœur des préoccupations de l’Algérie nouvelle pour être une locomotive du développement économique du pays, a affirmé M. Kamel Baddari, ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique.
« Le président de la République place l’université au cœur des préoccupations de l’Algérie nouvelle », ce qui a permis à l’université de « s’adapter aux enjeux et de devenir un moteur de l’économie nationale », a déclaré le ministre, invité de la télévision algérienne, mardi soir.
À cette occasion, le ministre a révélé que la numérisation a joué un rôle essentiel dans la rationalisation des dépenses et l’amélioration des services universitaires, notamment dans la restauration et le transport universitaire.
Concernant le renforcement de la formation en langue anglaise, le ministre a indiqué que l’enseignement en anglais a été adopté dans plusieurs domaines pédagogiques au sein de divers établissements universitaires, tout en travaillant à élargir le processus au cours de la prochaine étape, en particulier dans les spécialités technologiques, le domaine des sciences de la matière, les sciences de la nature et de la vie et certaines spécialités des domaines des sciences humaines et sociales.
D’autre part, le ministre a indiqué que le nombre des nouveaux bacheliers ayant accédé à la plateforme a atteint 396 mille étudiants, soit environ 96 %, tandis que 386 mille étudiants ont effectué les préinscriptions, soit 95 % de la totalité des nouveaux bacheliers. Il a affirmé que l’opération s’est déroulée sans heurts, grâce à la numérisation de toutes ses étapes afin de concrétiser le principe de démocratisation de l’enseignement supérieur à travers une transparence totale.
S’agissant des cursus de formation, le ministre a souligné que 32 nouveaux cursus de formation ont été établis à partir des choix des enseignants et des exigences de l’environnement économique et social conformément aux voies de l’Algérie nouvelle.
Quant au pôle universitaire des sciences et technologies, Sidi Abdellah, (Alger), il a été renforcé d’écoles supérieures de l’intelligence artificielle, cybersécurité, mathématiques, nanotechnologies et systèmes autonomes, ce qui contribuera à la qualité de l’enseignement et de la recherche scientifique, ainsi qu’au développement économique.
Dans ce contexte, plusieurs spécialités ont été créées, telles qu’un réseau thématique relatif à la technologie automobile qui comprend neuf établissements universitaires permettant aux diplômés d’être directement employés dans ce domaine, ainsi que l’accréditation d’une formation de l’industrie du textile à l’université de Relizane.
« Conformément aux besoins du système sanitaire, le nombre d’étudiants admis l’année dernière est passé à 15 000, contre 9 000 les années précédentes », le ministre a déclaré, ajoutant que « les sciences technologiques, notamment celles liées à la microtechnique, sont également très sollicitées ».
À cette occasion, le ministre a rassuré les étudiants sur « la préparation des structures et l’encadrement pédagogique pour accueillir un million et 812 mille étudiants au cours de l’année universitaire 2025/2024 », soulignant que « l’État a investi dans ce domaine pour consolider le secteur, notamment après le recrutement de 10 mille nouveaux enseignants universitaires au cours de l’année écoulée pour faire passer l’université d’un ratio d’un professeur pour 25 étudiants à un professeur pour 22 étudiants ».

Signature d’un accord de coopération entre l’Algérie et l’Etat de Zambie pour échanger des expériences et développer le partenariat entre les deux pays

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Signature d’un accord de coopération entre l’Algérie et l’Etat de Zambie pour développer le partenariat entre les deux pays

Un accord de coopération a été signé, le samedi 27 avril 2024, au siège du Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique, entre l’Algérie et la Zambie en vue d’échanger les expériences et développer le partenariat entre les deux pays dans le domaine de l’enseignement supérieur et la recherche scientifique.
À cette occasion, le ministre a expliqué que l’objectif de cet accord est de concrétiser un partenariat effectif à travers l’élaboration d’offres de formations universitaires entre l’Algérie et la Zambie, l’échange d’expériences, d’étudiants et d’enseignants chercheurs.
Dans ce contexte, le ministre a rappelé qu’au moins 67 étudiants de la Zambie poursuivaient leurs études supérieures dans diverses universités algériennes, dont 44 inscrits au titre de l’année en cours.
Et dans le cadre de cet accord, les deux pays œuvreront à signer des accords de jumelage entre les universités des deux pays pour « la préparation de programmes de formation communs et la délivrance de doubles diplômes Algéro-zambiens», a ajouté le ministre.
Les termes de l’accord prévoient encore le transfert de l’expérience algérienne dans le domaine de la recherche scientifique basée sur «l’innovation, la contribution au développement de l’économie nationale et la création de richesses », soulignant le rôle de l’Algérie à l’accompagnement, notamment des pays africains, pour la réalisation de la prospérité et de la richesse.
De sa part, le ministre de l’Education zambien, M. Douglas Munsaka Syakalima, a salué les efforts de l’Algérie pour le développement de l’enseignement supérieur et la recherche scientifique, notant que l’accord « permettra à son pays d’accéder et de tirer profit de l’expérience algérienne réussie dans ce domaine ».
M. Syakalima a en outre souhaité voir le partenariat entre la Zambie et l’Algérie s’étendre à d’autres domaines à l’avenir.

Le ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique, invité du deuxième numéro du séminaire virtuel « Heure de Dialogue »

Activités Ministerielles

le ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique, invité du deuxième numéro du séminaire virtuel « Heure de Dialogue »

Le deuxième numéro du séminaire virtuel « Heure de Dialogue » du Haut Conseil de la Jeunesse a accueilli le ministre à l’occasion de la célébration de la Journée du Savoir qui coïncide avec le 16 avril de chaque année, ou les efforts de réforme initiés par le secteur de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique et ses projets futurs ont été abordés.
Au cours de ce séminaire, organisé lundi, le ministre a répondu, dans une atmosphère de transparence et de démocratie, aux questions des jeunes algériens de l’intérieur et de l’étranger concernant un nombre d’axes directement liés aux efforts de réforme initié par le secteur de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique, ce qui leur a permis d’échanger sur les questions d’actualité du secteur et de consulter le contenu des futurs projets dont il supervise la planification et l’exécution.
À cette occasion, le ministre a insisté sur « la nécessité pour l’étudiant de concrétiser son idée innovatrice par la création d’une micro entreprise et contribuer véritablement au développement de l’économie du pays à travers la création de postes d’emploi dans divers domaines, tels que l’industrie, l’énergie et l’agriculture », rappelant l’existence « de projets de lois qui seront prochainement appliqués pour soutenir l’emploi des post-doctorants».
Dans le même contexte, il a souligné « l’importance de renforcer le partenariat entre l’université et les institutions économiques pour améliorer la formation et donner aux étudiants des opportunités d’interagir avec le monde du travail et de prendre connaissance des moyens de créer leurs micro-entreprises », et a souligné « l’importance de promouvoir l’enseignement de l’intelligence artificielle et d’améliorer les services universitaires, en particulier le transport universitaire à travers sa numérisation ».
Pour sa part, le président du Haut Conseil de la Jeunesse, Mustapha Hidaoui, a affirmé que « la jeunesse algérienne a tracé aujourd’hui, à travers de telles initiatives, une nouvelle voie de dialogue, de démocratie participative, de communication et d’échange d’idées ».
Dans le même contexte, il a souligné que le Conseil « organisera dans l’avenir d’autres rencontres avec les différents secteurs liés à la catégorie des jeunes afin de conserver cette illustre tradition » valorisant « l’importance de l’utilisation optimale des technologies modernes dans la communication, les transactions et le renforcement des valeurs de citoyenneté digitale chez les jeunes algériens, et ce, comme il l’affirme, incarnant la concrétisation de la volonté politique visant à réaliser l’intérêt supérieur des jeunes en renforçant leur position dans la gestion et l’évaluation des affaires publiques et les impliquer dans le processus de la prise de décision. »

Le ministre souligne l’importance d’utiliser l’intelligence artificielle pour développer l’innovation

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Le ministre souligne l’importance d’utiliser l’intelligence artificielle pour développer l’innovation

Le ministre a souligné mardi, l’importance d’utiliser l’intelligence artificielle pour le développement de l’innovation, la qualifiant  d’outil scientifique important pour la modernisation économique.
Le ministre a expliqué lors de sa supervision à l’ouverture de la journée d’étude sur « Intelligence Artificielle… Repousser les frontières de la science et promouvoir l’innovation », dans le cadre de la visite de travail qu’il a effectué à la wilaya que : « L’intelligence artificielle est un moyen scientifique d’une grande importance dans cette époque vu qu’il contribue au soutien et au développement de l’innovation ainsi que la modernisation de l’économie, il constitue également l’un des défis scientifiques actuels et futurs ».
Lors de cette occasion, le ministre a souligné que cette journée d’étude, qui coïncide avec la célébration de la Journée du Savoir, « se consacre à l’importance de l’intelligence artificielle, l’un des piliers principaux des professions de demain ». Le ministre a noté dans le même contexte que le Centre Universitaire Ali Kafi de Tindouf accorde une attention particulière à cet aspect à l’occasion de la Semaine Nationale de l’Intelligence Artificielle.
Le ministre a souligné, dans le même contexte, que l’Algérie, avec son système d’enseignement supérieur et de recherche scientifique est l’un des meilleurs pays africains dans le domaine de la recherche scientifique, notant dans ce contexte que « la stratégie de l’Algérie nouvelle » se caractérise par une croissance globale notamment des wilayas du sud, dont Tindouf qui deviendra un pôle industriel régional et national aux dimensions internationales.
Afin de concrétiser ces dimensions, le ministre a ajouté : « L’institution universitaire représentée par ce pôle universitaire de Tindouf sera la locomotive qui répondra aux besoins de la communauté sur le plan local et national », annonçant d’autre part la visite prochaine d’une équipe de recherche à la wilaya de Tindouf pour relancer le développement de l’exploitation de l’huile d’argan.
La journée d’étude s’est concentrée sur l’intelligence artificielle, les start-ups et les défis futurs, ainsi que sur les applications de l’intelligence artificielle dans les domaines des mathématiques, de l’informatique, des sciences de la nature et de la vie, ainsi que sur le rôle de l’intelligence artificielle dans la promotion de l’éducation et de la recherche scientifique.
Lors de cette réunion au Centre Universitaire « Ali Kafi » à Tindouf, des enseignants-chercheurs, des doctorants, des étudiants porteurs de projets, des cadres et des gestionnaires des institutions économiques se sont réunis pour discuter de l’importance de sensibiliser à l’investissement dans le domaine de l’intelligence artificielle. Ils ont également souligné son rôle dans le développement de la recherche scientifique et l’amélioration de la qualité de l’enseignement.
À cet égard, il a été souligné la nécessité d’activer le rôle des chercheurs quant au développement de ce domaine, en mettant la lumière sur les défis auxquels les institutions universitaires font face en vu des changements mondiaux, ainsi que les risques juridiques liés à l’utilisation abusive de l’intelligence artificielle.
La délégation ministérielle avait préalablement écouté des explications détaillées sur les projets inscrits pour le secteur de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique à Tindouf, notamment la création de 1000 places pédagogiques, l’équipement d’une résidence universitaire de 500 lits, ainsi que la réhabilitation et la rénovation de l’ancienne résidence universitaire.
Le ministre a examiné une exposition de maquettes de projets relatifs aux mémoires de fin d’étude des startups avant de visiter une exhibition des activités du Club Scientifique de la Bibliothèque Centrale et une autre de l’artisanat et des métiers tenus à l’université.
Lors de cette visite, le projet d’aménagement du bureau de soutien à l’entrepreneuriat de l’incubateur de projets, du centre de développement de l’entrepreneuriat, du bureau de liaison entre les institutions économiques et le centre universitaire, du centre d’appui à l’innovation et du laboratoire de l’intelligence artificielle ont également été présentés.
À l’issue de sa visite à Tindouf, et lors de la célébration de la Journée du Savoir, le ministre a signé des accords de coopération entre le Centre Universitaire « Ali Kafi » et le Cabinet du Parc Culturel et la Direction du Tourisme et de l’Artisanat de la wilaya.

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