M. Baddari reçoit Monsieur le directeur général de l’Organisation mondiale de la Propriété intellectuelle (OMPI)

activités ministerielles

M. Baddari reçoit Monsieur le directeur général de l’Organisation mondiale de la Propriété intellectuelle (OMPI)

Le soir du 3 septembre 2025, M. Kamel Baddari, ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, a reçu M. Daren Tang, le directeur général de l’OMPI. Ils ont discuté des moyens de renforcer la coopération entre le ministère et l’organisation, et sont convenu des points suivants :

– Une large diffusion de la politique de la propriété intellectuelle au sein des établissements universitaires ;

– La préparation d’un projet de création d’une académie de propriété intellectuelle, dédiée à la formation d’agents spécialisés dans ce domaine ;

– Œuvrer pour établir les bases de formation dans le domaine de la propriété intellectuelle au profit de l’ensemble de la communauté universitaire, et créer des centres de transfert de technologies au niveau des établissements universitaires.

Monsieur Baddari relance de l’exploitation des bases de données des revues scientifiques

activités ministérielles

Monsieur Baddari relance de l’exploitation des bases de données des revues scientifiques

Le soir du 2 septembre 2025, M. Kamel Baddari, a tenu une réunion au siège du ministère, avec l’équipe de la Commission nationale d’authentification digitale, pour discuter de plusieurs points, notamment du lancement de la base de données des revues académiques évaluées par des pairs. À cet égard, il a été décidé de relancer les bases de données suivantes : SPRINGER, TAYLOR &FRANCIS ONLINE, ELSEVEIR, IEEE, AHCM et SCIENCE DIRECT. Il est à noter que la base de données SPRINGER est actuellement disponible.
Une commission nationale de professeurs experts a été créée pour mettre en place un système d’information national unifié, moderne et efficace, permettant de détecter le taux de citations dans les publications scientifiques et les thèses.

Le secteur de l’Enseignement supérieur , en partenariat avec le secteur de l’Agriculture et du Développement rural, supervise le lancement de la stratégie nationale pour le développement de la culture et de la production du safran

activités ministérielles

Le secteur de l’Enseignement supérieur , en partenariat avec le secteur de l’Agriculture et du Développement rural, supervise le lancement de la stratégie nationale pour le développement de la culture et de la production du safran

Dans le cadre d’une démarche qualitative visant à renforcer la diversification économique, M. Kamel Baddari, ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, accompagné de M. Youcef Cherfa, ministre de l’Agriculture, du Développement rural et de la Pêche, a supervisé, le lundi 01 septembre, à l’École nationale supérieure agronomique, le lancement de la stratégie nationale pour le développement de la culture et de la production de safran en Algérie. Cette initiative vise à concevoir le carré magique : recherche scientifique appliquée, agriculture moderne, industrie de transformation et commercialisation internationale.
À cette occasion, M. Baddari a confirmé que cette stratégie « est l’une des clauses du programme du président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, qui vise à développer une agriculture diversifiée reposant sur la valorisation des résultats de la recherche scientifique, et ayant une grande valeur pour l’économie et la société ». Il a ensuite donné le coup d’envoi de la campagne de plantation de safran en tant que produit à grande valeur sociale et économique.
Il a ajouté que cette stratégie visait à atteindre quatre grands objectifs, à savoir : « valoriser des résultats de la recherche dans le domaine agricole et améliorer la production et la productivité, développer de nouvelles variétés de semences, développer les industries de transformation du safran et donner une valeur ajoutée à l’économie nationale grâce à la commercialisation locale, régionale, continentale et internationale de ce produit stratégique. Il a également salué les efforts des cadres et des chercheurs des secteurs de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique et de l’agriculture, ainsi que les résultats remarquables obtenus à cet égard ».
Il a ajouté qu’en valorisant les résultats de la recherche dans le domaine agricole et en les appliquant en collaboration et en intégration avec le ministère de l’Agriculture, du Développement rural et de la Pêche, l’objectif de « créer une marque algérienne de safran susceptible de conquérir les marchés et de renforcer le prestige économique de l’État algérien » serait atteint.
M. Cherfa a, pour sa part, expliqué que cette initiative était « le premier pas dans le parcours de la relance de cette filière à valeur ajoutée, saluant les efforts de tous les acteurs ayant contribué à préparer cette stratégie nationale, conformément aux directives des hautes autorités du pays « qui accordent une grande importance à cette agriculture et mobilisent tous les moyens pour l’accompagner et la soutenir ».
Il a également salué « le travail considérable des établissements de recherche et de formation sous tutelle, notamment l’Institut national de recherche forestière, et son rôle important dans la relance de cette filière en établissant un parcours technique spécifique, et en menant des expériences sur l’adaptabilité de cette agriculture aux différents types de climat de notre pays. Il a également souligné que des dizaines de producteurs avaient été formés dans toutes les wilayas du pays, et a salué le rôle important des producteurs qui ont relevé le défi et ont contribué au financement et à la promotion de cette agriculture. »
À cette même occasion, un accord de coopération a été signé entre le secteur de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique, représenté par l’École nationale supérieure agronomique, et le Centre de recherche scientifique et technique sur les zones arides et le secteur de l’agriculture, du développement rural et de la pêche, représenté par le Centre national de la recherche forestière et le Centre national de contrôle et de certification des semences et des plantes. Cet accord vise à certifier le processus technique de la culture du safran, afin de permettre sa production et son exportation, tout en garantissant la formation.
Dans le même cadre, les deux ministres ont visité la ferme centrale de l’École nationale supérieure agronomique. Ils y ont assisté à des présentations sur les principales étapes de la culture du safran, et ont également supervisé le lancement de la plantation de bulbes et de plants de ce produit.

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